J'ai envie de te croire,
Mais à trois heure moins le quart,
Désir enfui désir éteint,
Voici venir un temps mesquin.
L'ego se venge,
Le moi se défend.
Tu préfères imaginer le pire,
Tout ça tu verras te joueras des tours!
Or dépendance à maintenir,
Tu te fiches te fiches du jour où...
Eh, eh, eh, eh, fortiche!
Je faisais des acrostiches.
Jouir, jouir de ne pas en finir,
Jouir, jouir à défaut de mourir!
Il est temps d'exhumer les deuils un à un,
Leur régler, leur régler leur compte enfin.
Han, han, han, han, filer!
Oublier ce doux coton brun.
Me voilà, je trace sans détours,
Compte tenu des contours,
A Auxerre, à Nanterre,
S'enterre une vie délétère.
Secrets à la clé,
A l'ours jeté!
Égarée, de tours en tours,
Jamais, jamais, tu ne déploies,
Tes ailes, oh ces ailes oubliées,
Et moi, mon amour, je te vois,
Muette, en haut de ta tour,
A guetter ton roi.
Ah! la saveur perdue de tes atours!
A cloche pied dans les rues sans feu,
Le désir, le désir à rebours,
Hoquette sous la pluie des aveux.
Eh, eh, eh, est-ce ainsi
Que meurt l'amour?
Où sont les marelles qui nous menaient au ciel?
Où sont les marelles qui nous menaient au ciel?
Où sont les marelles qui nous menaient au ciel?
Où sont les marelles qui nous menaient au ciel?